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ChroniqueBobo

23 mai 2017

Critique Cinéma # 11 : Wall-E

Pour commencer, je dois vous dire que je suis un gros fan des films d’animation Pixar et que je les préfère au film Disney (je sais c’est la même boite mais TG). Je suis aussi partisan de la Pixar Theory qui veut qu’ils soient tous lié (mattez le point culture de LinksTheSun sur les théories de fans au cinéma). En grandissant je me suis rendue compte qu’il n’y avait pas qu’une différence graphique entre les Pixar et les Disney. Il y a quelque chose dans la narration qui rendent les Pixar plus proche du genre humains et plus identifiable à l’Homme aussi. Les films Pixar réussissent toujours à m’émerveiller, comme si j’avais 8 ans devant ces films, alors que j’en ait 20 aujourd’hui (je vous mets en lien une conférence Ted.com sur le sujet avec les sous-titres dispo) (By The Way allez voire les conf Ted, c’est super intéressent et les sous-titres français sont généralement présent pour les non-bilingues)

https://www.ted.com/talks/danielle_feinberg_the_magic_ingredient_that_brings_pixar_movies_to_life

Le Pixar d’aujourd’hui m’a touché moi personnellement et l’un de mes combats socio-politiques les plus important : l’écologie lié à l’avenir du genre humain. Aujourd’hui je vous parle de mon Pixar préféré : Wall-E (96% sur Rotten Tomatoes).

Wall-E est donc un film d’animation Pixar nous montrant un monde dystopique (stopique) où l’homme et une société nommé BNL ont complètement transformer la Terre en un monde invivable due à la surconsommation et à la pollution massive, visiblement un monde dirigé par Donald Trump. Les humains ont donc, pour remédier à ce problème créé des petits robots nommé Wall-E pour nettoyer la Terre tandis que les humains partent en croisière de plusieurs décénies/siècles/générations dans l’espace dans un vaisseau géant. Dans ce vaisseau ils vivent de la surconsommation, deviennent tous obèses, et ce déplacent en siège volant due à leurs incapacités à se déplacer elle-même due à leurs obésité morbide (c’est un terme médical) elle-même due à leurs sur consommation. Visiblement un vaisseau rêver par Donald Trump. Wall-E est donc le dernier robot sur Terre s’occupant donc de faire des petits tas d’ordure (et il y en a beaucoup) pour nettoyer la Terre (ou plutôt organiser son nettoyage). Il n’est accompagné que par un petit insecte que j’ai appelé Gérard. Wall-E s’occupe donc de sa besogne quotidienne quand il trouve une plante et l’a ramène chez lui. Au même moment un vaisseau arrive sur Terre pour qu’un autre robot, Eve, remplisse sa mission qui est de trouver une plante qui va ainsi créer de la photosynthèse et donc de l’air respirable. Wall-E rencontre Eve, ils sympathisent vite et Eve trouve la plante chez Wall-E, elle devient donc immobile et ce fait récupérer par le vaisseau envoyer à la base par BNL. Mais Wall-E la suit (plus ou moins discrètement) et commence ainsi une grande aventure.

Pour commencer je dois dire un mot sur le design de Wall-E, IL EST TROP MIGNON ! les chara-designer ont su rendre Wall-E hyper humain (plus que ces espèces de larves sur leurs vaisseau Trump), notamment en rendant ses yeux, ses mouvements et ses expressions compréhensible hyper rapidement pour nous. Il y a aussi une belle image du rapport homme-machine et leurs rapports à l’environnement. Ce film décide d’inverser les rôles en montrant des machines bourrées d’humanité qui prennent soins de la Terre et des humains sans humanité, uniquement dirigé par la consommation qui gagne leurs humanité grâce à l’unique plante, unique végétation du film. Ils gagnent leurs humanité grâce au machine et grâce à la Terre. L’Homme a besoin de la Terre et de l’environnement pour être humain donc pour vivre. Il faut donc en prendre soins, dès maintenant et pas seulement au cinéma.

Ce film (et les Pixar en général) sait me redonner de l’espoir, et si ça a marché pour moi qui as une forte tendance à la dépression, imaginez quel effet il donnera sur vous, regardez ce film et faite le regardez aux autres. C’est important.

Enjoy.

wall-e

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17 mai 2017

Critique Musical # 6 : Casus Luciferi

Le Black-Metal, sous genre extrême du Metal que j’adore et dont l’histoire est tourmentée et assez compliquée. Grosso merdo, ça commence en Angleterre ou le groupe de NWOBHM (New Wave Of British Heavy Metal) Venom sors son album intitulé Black Metal. Album qui a entre autres inspiré le suisse Tom G Warrior pour son groupe Hellhammer qui deviendra très vite Celtic Frost. Au Brésil beaucoup de jeunes se révolte contre la dictature militaire et conservatrice et se lance dans une musique brutale et volontairement anti-chrétienne. Cette vague est notamment mené par Max et Igor Cavalera (Sepultura) qui ont à peine moins de 18 ans à l’époque. Ajoutons à ça le suédois Quorton qui aoute à tout ça une ambiance néo-médiévale et satanique avec son groupe Bathory et envoyé le tout en Norvège des années 80. Le résultat ? Des jeunes inspiré de tous ces groupes qui veulent faire une musique extrême, hors des cadres imposés par le Death Metal venant des USA et surtout qui veulent ce révolté contre la société et la religion invente le Black Metal (ou Second Wave Of Black Metal ou New Wave Of Norwegian Black Metal, le Black Metal d’aujourd’hui en gros). Il en sort des groupes comme Mayhem, Burzum ou Darkthrone. Pour en savoir plus sur le sujet je vous recommande l’émission Papy KVLT (devenus KVLT en chemin) de la chaine YouTube 2Guys1TV, une chaine francophone qui parle de musique Metal. Il y a aussi le reportage Until The Light Take Us dont la version VOSTFR est disponible sur YouTube.

Mais n’allez pas croire que le Black Metal est réservé aux Norvégiens, en effet, Dead le second chanteur de Mayhem (décédé suite à un suicide) était suédois.  Et il y a de très bon groupe de Black Metal en France aussi. Le groupe dont je vous parle aujourd’hui n’est pas norvégiens puisqu’il vient de Suède et existe depuis 1998 : Watain.

J’ai découvert Watain grâce au magazine Metallian dont la couverture montrait Erik Danielson (chanteur du groupe) avec un serpent et tout couvert de Corps Paint. Je me suis donc penché sur le groupe et la première vidéo qui m’est apparus était Devil’s Blood en live au Hellfest 2010 et le groupe m’avais envoyé à la gueule une forme de sincérité mélangé à une bestialité dingue que je n’avais jamais vue au paravent. J’ai donc écouté l’album dont était tiré cette chanson (parce que c’est le genre de chose que je fais). J’ai donc chercher et écouter l’album Casus Luciferi. L’animalité et la sincérité que j’avais donc ressentit avec Devil’s Blood c’est donc mélangé à une atmosphère froide et sombre frisant l’ésotérisme où j’ai eu l’impression d’être à deux doigts de la porte des enfers. Cet album est l’un des rares où je me suis sentit si touché personnellement. La voie du leader Erik Danielson m’a semblé désespéré et cherchait une oreille à laquelle s’exprimer et as trouvé la mienne. Et j’ai trouvé ça fou. Toute l’ambiance que ce groupe dégage est amplifié par leurs présences scéniques qui se ressent même à travers l’album.

Cette caractéristique du Black Metal (celle du Corps Paint) est parfois assez critiquée car elle donnerait un côté trop bling-bling et commercial au Black Metal. Même si c’est vrai, et alors ? Toute les musique et tous les artistes ont un jour ont un jours ou l’autre une partie de commercial dans leurs œuvres, ce n’est ni Metallica ni Black Sabbath qui dirons le contraire et ceux qui crache le plus sur ça sont généralement des groupes pas assez talentueux pour sortir de leurs caves ou des groupes qui baignent le plus dedans (ça se voit que ça m’énerve ?). Je dois avouer que j’aime beaucoup l’ambiance sombre et l’esthétique du Black Metal. Ça donne un côté hyper cérémonie et je trouve ça hyper transcendent et ça aide les fans et le groupe à entrer dans un personnage qui colle parfaitement à la musique et permet une meilleure expérience.

Je trouve ce genre de musique très humaine en fait. Très animal. Très proche. Et surtout extrêmement sincère peu importe l’égo de leurs compositeurs. Le groupe ne parle pas à des fans, ils parlent à des individus par leurs musique ils leurs permettent, plus que les autres genres musicaux, de se comprendre et d’extériorisé tout ce que l’on a de plus humain et de plus sombre. Je ne suis pas fan de Black Metal pour faire mon ados en crise contre la religion de papa maman. Je n’écoute même pas cette musique parce que je suis hostile à l’idée de religion mais parce que cette musique me touche moi personnellement, pas le fan mais le petit être que je suis, sensible à la sincérité.

Enjoy.

Watain Casus Luciferi

10 mai 2017

Critique Cinéma # 10 : High Rise

C’est un petit peu la chronique de la violence aujourd’hui étant donné que je vais vous parler d’un film que j’ai beaucoup aimé mais que e ne suis pas sûre d’avoir bien compris. Je pense aussi qu’il y a quelque chose qui m’échappe avec ce film. Aujourd’hui je parle de High Rise (61% sur Rotten Tomatoes) avec Tom Hiddleston (le gars qui joue Loki, le méchant le plus classe du MCU).

Je sais que ce film a très peu été distribué en France et je trouve ça dommage parce que j’ai bien aimé ce film. High Rise raconte l’histoire du Dr. Robert Laing joué par Tom Hiddleston qui emménage dans un gratte-ciel (High Rise en anglais). Il déménage après avoir perdue sa sœur. Il vit donc sa petite vie tranquille OKLM wsh tavu, il se fait des amis dans son voisinage grâce aux différentes petites fêtes organisées par ci par là, découvre le fonctionnement de l’immeuble qui a un supermarché et une piscine quand même, avec les riches en haut et les plus pauvre en bas (grosse allégorie de la société libérale actuelle). Le problème c’est que tout tombe vite en bordel avec l’effondrement de cette petite société due au différent problème technique très ressentit par les classe les plus populaire en bas de l’immeuble qui vont donc ensuite se rebeller et créer le chaos et le désordre dans l’immeuble (si j’ai bien compris, aidez-moi !)

Ce film est très beau, visuellement grâce aux lumières et surtout aux décors on dirait du Kubrick. Ce film m’a fait penser à Orange Mécanique d’ailleurs à cause de ses décors parce que ça parle pas du tout de la même chose. Le film a ce pendant ses lenteurs dans la narration mais rattrape par son visuel qui est très fort. La direction d’acteur est top, personne n’est à côté de son personnage même le personnage joué par un enfant qui n’est jamais hors de ses bottes ce qui est très difficile parce que le cinéma n’a que très rarement eu des acteurs jeunes excellent.

C’est quand même un film très intellectuel je pense, donc si vous aimez vous toucher en regardant des films allez-y et si vous n’aimez pas vraiment ça allez-y quand même parce que comme je l’ai déjà dit dans ma chronique précédente sur Alien : toute expérience cinématographique, musical, littéraire ou tout simplement culturelles sont bonnes à prendre.

(Et c’est là que je me rend compte que ma critique est sans doute la plus courte que j'ai écrite :/ )

Enjoy. 

high rise

4 mai 2017

Critique Musical # 5 : Arch Enemy - War Eternal

En 2014 le groupe de Death Metal Mélodique suédois Arch Enemy fait parler de lui en annonçant le départ de sa chanteuse, l’allemande Angela Gossow pour laisser la place à la québécoise Alissa White-Gluz qui sera la chanteuse de leur prochain album ‘’War Eternal’’. J’avoue que cela m’a fait bizarre, je trouvais qu’Angela avait LA voie d’Arch Enemy. Et je me suis bien trompé, Alissa remplie plus que bien son poste de chanteuse au sein du combos suédois.

J’aime beaucoup ce groupe de pars sa musique assez mélodique (logique), ses solos de guitare assez ouf, sa rythmique plus qu’efficace, le chant de la chanteuse qui nous montre que les femmes aussi on leurs places dans le Death Metal et les thèmes abordés assez politiques. Particulièrement révolutionnaire et soutenant les soulèvements populaires contre toutes formes d’oppression (*cris de joie dans mon petit cœur anar*). Le groupe c’est d’ailleurs associé avec Amnesty International plusieurs fois.

J’ai donc écouté l’album tout curieux de savoir si la nouvelle chanteuse allait reprendre le flambeau de la bonne manière. En plus de bien le reprendre elle me l’a jeté à la gueule bien comme il faut. Et ça a été un putain de plaisir, le groupe nous sert toujours ce qui a fait son succès avec ses solos hyper mélodique et qui rentre dans la tête à une vitesse folle sans vouloirs en ressortir, sa rythmique bourrine et son chant qui ici est nouveau et super efficace. L’album a quelque chose de nouveau, une espèce de fraicheur bienvenue qui fait du bien et qui donne un sentiment de renouveau, comme si le phoenix sortit de ses cendres était plus beau que son lui d’avant (j’ai un peu galérer à la trouver celle-là). Il donne en plus une envie de soulèvement, non pas contre une institution mais contre une idée contre laquelle il faudrait faire une guerre éternel, l’album porte bien son nom.

Petite mention spécial à la chanson ‘’Never Forgive, Nerver Forget’’ qui me donne toujours envie de bien niq*er des mères et à la chanson ‘’Time Is Black’’ dont le solo de fin semble avoir été écrit par Johan Sebastian Bach (c’est une métaphore hein ?)

Pour ce qui est de la voie, comme je l’ai déjà dit Alissa remplit amplement son rôle. Elle est sûrement à l’origine de ce renouveau sont je parlais un peu avant. Elle donne un son plus moderne a la voix d’Arch Enemy et plus sincère aussi je trouve. Et pour ceux qui marmonne que les femmes n’ont pas leurs place dans le Death Metal je vous invite d’abord à fermer votre gueule et d’aller écouter cet album (ainsi que le groupe Eths par exemple) où Alissa à une voie bien plus grave que votre petite voix plein de testostérone.

Finalement cet album est hyper classe. Le groupe fait partit de cette proportion (hélas) trop faibles de groupes avec une ou plusieurs femmes en son sein. Et c’est dommage, il existe un tas de groupe composé (parfois essentiellement) de femme : Crucified Barbara, Nashville Pussy, Eths, Epica, Eluveitie, etc… Et en plus de casser bon nombre de clichés débiles elles donnent un Metal au moins aussi efficace que les groupes masculins.

C’était le mot de la fin sur Arch Enemy donc, messieurs les misogynes, ne soyez pas repoussé quand une femme est présente sur la scène, elles y ont leurs places et une efficacité prononcé comme les hommes. Et elles seront vous latter les burnes a coup de Docs fleurit dans les pogos :)

Arch_Enemy_-_War_Eternal_artwork

27 avril 2017

Critique Cinéma # 9 : Alien

Ridley Scott, déjà rien que là vous êtes emballés et je vous comprends. Ce gars a réalisé quelques-uns des meilleurs films de tous les temps. Le premier film de sa filmographie que j’ai regardé c’était Hannibal et j’ai beaucoup aimé. Quoi qu’il en soit, le Monsieur a réalisé une révolution dans le monde de la science-fiction qui n’est pas Star Wars (ma série de film préférés) et ce film c’est Alien (97% sur Rotten Tomatoes).

Ce film a deux anecdotes que je trouve dingue et que je me dois de vous raconter, parce que ce sont ces deux anecdotes sui m’ont poussé à regarder ce film :

  • Dan O’Bannon était responsable des effets spéciaux de Dune de Jodorowsky (oui un jour je parlerai de Jodorowski’s Dune) mais le film ne fut jamais réalisé, tellement dévasté il fut collé dans une maison de repos où il écrit le scénario de Alien pour se consoler.
  • H.R Giger, qui a dessiné et sculpter l’Alien, était un ami du leader de Celtic Frost qui est un groupe que j’aime beaucoup. Mais aussi parce que j’ai beaucoup de respect pour cette artiste, je trouve ses œuvres simplement magnifiques.

Alien raconte donc l’histoire de l’équipage du Nostromo sortit de son sommeil ou de sa congélation voir même les deux après avoir reçu un mystérieux message. Trois membres de l’équipage sorte donc étudier la planète d’où semble venir le message et découvre un vaisseau où réside le cadavre d’un (putain de magnifique) alien. Le retour à la base est forcé lorsque qu’une bestiole d’origine inconnue c’est agrippé sur le casque d’un des trois membres qui étudiait une colonie d’œufs dans le vaisseau. Les trois sont alors rentrés et tous sont étonné de ladite bestiole toujours sur le visage de leurs camarades. La joie et le soulagement est à son comble quand elle lâche sa prise et semble mourir, mais toute cette joie ne sera que de courte durée lorsque mini alien sort du ventre de John Hurt et deviendra grand. S’en suit alors une chasse à l’homme autant pour les six autres membres encore à bord que pour l’alien qui a faim.

Ce film est long, mais le fait bien. Le film à prit le pari de la lenteur et de sa pression et c’est réussi. Tout est fait pour nous faire attendre et tout nous mais en alerte, l’alien fait ressentir sa peur par sa présence invisible et elle est assez palpable pour tenir l’attention de n’importe qui. Le rythme est parfait, la direction artistique est au petits oignons et l’ambiance sonore nickel. Le gros point fort d’Alien est, selon moi, son décors (en particulier le vaisseau mère de l’Alien) tous Co-dessiné par le regretté H.R Giger qui, comme je l’ai déjà dit, a dessiné l’Alien. Giger partage d’ailleurs l’Oscar du Meilleurs effets visuels pour ce film et c’est amplement mérité.

Ce film est devenu un classique de la science-fiction, aujourd’hui beaucoup de cinéphile ne jure que par ce film. Toutefois j’ai peur que ce film soit un film pour les fans du genre. Comme je l’ai déjà dit, ce film est lent mais c’est fait exprès. Cela à marcher pour moi mais c’est aussi parce que je suis un fan de science-fiction et de cinéma d’horreur. Si vous ne l’êtes pas, il y a une chance pour que vous vous ennuyez ferme devant ce film. Jetez-y quand même un coup d’œil, chaque expérience cinématographique est bonne à prendre.

Enjoy.

 

alien_poster

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14 avril 2017

Flash Musique # 2 Carré-Court

J’ai été contacté par une agence de promotion pour vous parler d’un groupe. Je vous avoue que cela m’a quelque peu surpris. J’ai accepté à deux conditions qui m’ont été accordées :

  • Pouvoir jouer la carte de la transparence et vous dire qu’ils m’ont contacté (check).
  • Pouvoir dire ce que je veux sur le groupe que je vais vous présenter dans ce Flash (check).

Tout d’abord je tenais à vous dire que je ne gagne rien en échange de ce service. Je fais ça sans toucher un rond et que de toute façon je ne touche rien en écrivant ce blog.

La semaine dernière donc, l’agence Ephelide (http://www.ephelide.net/) m’a contacté pour vous parler d’un groupe qui sort son premier EP ‘’N°1’’ aujourd’hui (le 14 avril 2017 donc).

Ce groupe de Blues-Rock, Carré-Court, est un duo originaire de Limoges qui nous sert une musique douce, fleurie et très inspiré. Avec un bon mélange de Rock Old School et de Blues pour Hipster, Carré-Court nous donne une musique joyeuse qui sent un bon thé fuité sur la terrasse d’un bar entre amis en plein soleil avec des cerisiers en fleurs au loin. C’est la bonne humeur, l’amitié, l’insouciance avec des grosses lunettes et une barbe bien fournis. C’est le fait de juste profité d’une jolie voie et d’une douce mélodie entre amis. Carré-Court c’est ces petits moments simples entre amis qui font du bien. Ce genre de petit moment ou rien d’autre ne compte que le moment présent. C’est aussi une version calme de Ace Of Speed comme ils ont si bien réussi à le faire.

Je vous laisse profiter de leurs EP, moi je vais boire un thé dans mon mug Santa Claus en regardant le ciel ensoleillé et ces arbres fleurit

Enjoy.

(Lien pour leurs covers d'Ace Of Speed de Motörhead : https://www.youtube.com/watch?v=1AZhJVV4trc )

carré court

13 avril 2017

Critique Cinéma # 8 : Mad Max Fury Road

Aujourd’hui je vous parle du film que beaucoup de personne appelle le scandale des Oscar 2016 : Mad Max : Fury Road, qui n’a gagné que les Oscars techniques en 2016 et pas d’Oscar du meilleur film ou du meilleur scénario. Je me souviens ne pas avoir compris la hype autours de ce film (ce qui m’a d’ailleurs rebuté à aller le voir au cinéma) et tout le scandale porté autour de ses non-récompense au Oscar, j’avais même entendue dire qu’il aura largement mérité l’Oscar du meilleur film. Cela est-il vrai ? Je me suis posé la question en regardant ce film.

Bien que l’ayez sans doute déjà vue, regarder et/ou lue toute les critiques possible et inimaginable, je ne pouvais pas, en tant que blog de critique musical et ciné, ne pas vous parler de Mad Max : Fury Road (97% sur Rotten Tomatoes).

L’histoire (que vous connaissez déjà sans doute) prend donc place dans un désert sans fin où règne une lutte sans merci entre plusieurs gangs pour contrôler l’eau et l’essence. Max, ce fait capturer par le Clan de ‘’Immortan Joe’’. C’est alors que le chef de clan est trahi pars l’une de ses plus fidèle partisane ‘’Imperator’’ Furiosa qui cherche à se faire s’échapper les épouses du chef. Max sert alors de ‘’blood bag’’ a l’un des soldats du gang de ‘’Immortan Joe’’ lors qu’il reprend la main et rejoint Furiosa. Ce déroule alors un magnifique Road Trip pour s’échapper de nombreux gang aux trousses de Furiosa. Mais ça vous le savez déjà puisque vous avez déjà vue le film. C’est parce que vous voulez mon avis que vous me lisez encore. Aussi pour avoir la réponse à cette fichue question plus haut dans l’intro (pour ceux qui ont oublier voici la question : Est-ce que Mad Max : Fury Road aurait dû gagner l’Oscar du meilleur film 2016 ?)

Ce film est une putain de Master Piece mais ça vous vous en douté bien. Ce film est beau, les décors sont magnifiques, l’ambiance est à la fois complètement dingue, rapide (sans être précipité) et totalement loufoque et c’est super cool de voir ça dans un film. Le film à l’air de te dire « Ouais je suis un film et j’assume ! » mais pas à de manière ultra appuyée comme Deadpool, c’est plus dans le ressentit. Le rythme en lui-même est un cas d’école, le rythme est tout simplement parfait. L’histoire est vite comprise, elle devient vite intéressante et ne tombe jamais à plat, le scénario nous met toujours en éveil. La musique est géniale, le son est parfait. Mais ce film a un petit point faible. Sa scène de fin où Max et Furiosa se regarde droit dans les yeux à la fois plein de sympathie, de tendresse et de bon sentiment. On l’a connait tous cette fin, c’est un peu facile pour une happy ending (attention, je tiens à préciser que je n’ai rien contre les happy ending, je trouve même ça cool, c’est juste que pour le cas de Mad Max Fury Road je l’ai trouvé juste cliché et feignante) mais ce n’est pas bien grave comparé au reste du film qui est tout simplement génial. J’aime beaucoup aussi la place donnée aux femmes dans ce film, des femmes fortes et indépendante qui cherche leurs libertés et qui ne se laisse pas avoir. Ce film est même presque l’image du féminisme avec des femmes qui cherche à s’émancipé de l’homme, et c’est beau (range ton commentaire haineux et oui je suis un bobo gauchiste ET féministe et ce n’est pas une surprise)

Je suis ravi que vous ayez put lire mon avis sur ce film que je suis certain ne vous aura pas étonné et que vous avez sans doute déjà lue quelque part ailleurs tellement mon avis est identique à celui de tout le monde. Si vous êtes comme moi et que vous avez vécu dans une grotte un bon moment, foncé voir ce film qui oui aura due recevoir l’Oscar du meilleur film en 2016.

Enjoy.

Mad Max

12 avril 2017

Blague à part

Je ne parle pas de politique sur ce blog, mais juste là, je ne peut pas,  je ne dois pas, je n'arrive pas à me taire. C'est juste scandaleux ce qui ce passe là et je dois vous avouer que j'ai peur. Mais je ne la laisserai pas me faire taire.

En plein début du 21ème siècle le Monde, l'Europe, l'Homme est touché de ce que je pense le crime le plus grave qui soit. Mais voilà vous l'avez fait. Bordel de merde ! Voilà ce que les politiques libérales et conservatrices ont fait, voilà ce que le populisme et la démagogie ont fait. Vous avez décidé de répéter ce que l'Histoire a fait de pire. Vous auriez pût imiter Jean Jaurès, vous auriez pût imiter Jean Monet, vous auriez pût immité Simone De Beauvoir mais non vous, avez décidé d'imiter l'homme qui à apporter les ténnebres sur le Monde pendant douze ans en créant la monstruosité. Vous avez décidé d'immiter la femme qui a apporter l'inégalité outre manche durant onze ans. Comment vous pouvez vous tenir devant des hommes et des femmes qui ont des rêves, des sentiments, des envies, des espoirs et leurs dire : "tu n'es pas normal", j'ai un scoop pour vous, c'est vous qui n'êtes pas normal, c'est vous qui êtes juste dangeureusement et anormalement con avec votre putain de moral conservatrice à la con. Allez vous soigner part une putain d'éducation ça vous fera du bien et laissez la communoté LGBT tranquille. CE SONT DES ÊTRE HUMAINS !!! 

A toute la communoté LGBT, je vous soutiens de part ce blog, de part ma petite voie qui ici à un intérêt parcequ'ici elle est publique et publié : je vous soutient.

 

La Tchétchénie ouvre un camp de concentration pour les homosexuels.

Le Président Ramzan Kadyrov allié clé de Vladimir Poutine, aurait ordonné une répression sans précédent. Premier camp de concentration pour les homosexuels depuis Hitler. Ceux qui ont fui ont rapportés que les prisonniers étaient battus et torturés. Forcés à révéler d'autres membres de la communauté gay Plus d'une centaine d'homosexuels ont été arrêtés et trois tués la semaine dernière en Tchétchénie.

https://medium.com

 

11 avril 2017

Annonce

Coucou vous tous. 
J'ai eu beaucoup de mal à écrire l'article de la semaine prochaine (une critique musical), j'ai donc décidé de ne pas la faire. Mon programme étant ce qu'il est j'ai décidé de ne rien changer à ce dernier. Ma prochaine critique musical sera donc à paraître dans trois semaines donc. 
J'espère que vous comprendrez.
Gros bisous et à la prochaine.

5 avril 2017

Critique Musical # 4 : Behemoth -The Satanist

Il s’est passé quelque chose en Pologne en 1991. Dans sa scène underground est née un monstre mené par le génie d’Adam Darski alias Nergal. Ce monstre c’est Behemoth. Devenue référence dans la scène Death, ce groupe, par son efficacité musicale et ses textes mêlant ésotérisme et satanisme servent les légions noires de Satan.

Je me souviens quand on m’avait conseillé d’écouter ce monument. On m’avait mis le nez devant le clip At The Left Hand Ov God et j’ai été surpris par l’efficacité technique et la précision de ce groupe (et pars la classe de leurs clips), aussi par son côté totalement burné, direct et franc. C’est d’ailleurs ça que j’aime dans le Metal extrême, ce côté direct, franc, précis, qui te dis tout ce qu’il a à te dire sans passer par quatre chemins le tout en étant mélangé avec une atmosphère et une imagerie forte qui dérange encore certaine personne.

En 2014, le groupe sort alors son dernier album en date qui est le premier album sortit depuis la guérison de Nergal après qu’il lui ait été diagnostiqué une leucémie face à laquelle il en est sortis vainqueur.

Je me suis donc procuré l’album et je l’ai écouté et ma réaction a été la suivante : Rien, je dis bien rien, ne pourra décrire la claque que je me suis ramassé après avoir écouté cet opus. Le chant de Nergal a touché son point de maturité le plus haut, souvent typé Death Metal, on y retrouve quand même tout le passé Black Metal du quatuor Polonais. Les paroles sont intelligentes (quad on connait le niveau d’étude du bonhomme ce n’est pas étonnant). Niveau instrumental les guitares ne font jamais dans la bourinitude gratuite (chose que je reproche parfois au genre) et son toujours justes. La basse est parfaite et la batterie sait se montrer technique et rapide, étant moi-même batteur je peux vous assurer que ce n’est pas chose aisé. L’atmosphère de cet album est sombre, un chaos règne dans cet album, une adoration étrange et ésotérique est sentie et c’est absolument délicieux.

Quelque chose de différent sort de cet album par rapport aux autres de Behemoth, on y sent une vie différente des autres comme une volonté de revivre, comme si la maladie de Nergal avait subitement changé sa musique et sa façon de la faire et c’est assez dingue. Cet album marque quelque chose de totalement nouveau pour le groupe et cela me rend hyper enthousiaste pour ce groupe et la scène Metal en générale.

Gros Big Up à Nergal qui a écrit ou co-écrit toute les chansons de The Satanist (et il faut savoir que ce mec a une plume de génie) en plus de les avoir toute composé. Aussi au solo de la chanson Messe Noire ainsi qu’au chansons Blow Your Trumpets Gabriel et O Father O Satan O Sun qui sont des putains de chefs-d’œuvre (et je pèse mes mots) en plus de me porter dans des états limite transcendantal où je pourrai m’agenouiller devant l’autel de Satan.

Enjoy.

 

            Checklist :

  1. Blow Your Trumpets Gabriel
  2. Furor Divinus
  3. Messe Noire
  4. Ora Pro Nobis Lucifer
  5. Amen
  6. The Satanist
  7. Ben Sahar
  8. In The Absence Ov Light
  9. O Satan O Father O Sun

      Label : Nuclear Blast 

behemoth-the-satanist-cover

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